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    https://www.sciena.ch/fr/research/for...for-accidents-with-nanomaterials.html
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    https://www.courrierinternational.com...a-france-de-demain-se-detourne-du-vin
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    https://tvmag.lefigaro.fr/programme-t...pollution-au-plomb-en-france-20221003
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    https://www.nouvelobs.com/sante/20210...ont-etre-rendus-publics-des-2022.html
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    https://www.latribune.fr/opinions/tri...ouveau-scandale-sanitaire-885717.html
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    https://cleantechnica.com/2021/03/21/...sks-contributed-to-millions-of-deaths
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  7. Une première explication se trouve dans le concept de « routine organisationnelle » qui décrit l’entreprise comme une entité routinière. Les entreprises seraient enclines à sortir de leur routine uniquement si d’autres concurrents ont acquis de meilleures connaissances. Elles vont alors mener un effort de recherche pour être à nouveau compétitives.

    ***

    Les lobbies industriels peuvent notamment financer des scientifiques afin de crédibiliser leurs études. C’est ainsi qu’en 2015, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a autorisé le bisphénol A en se référant aux résultats d’une étude portant sur trois à quatre années consécutives dans le cadre du programme national de toxicologie des États-Unis soutenu par des lobbies industriels du plastique.

    Avec leurs expertises, ces mêmes scientifiques peuvent œuvrer directement dans des comités décisionnels. L’affaire du bisphénol A a d’ailleurs révélé que 8 des 18 experts du groupe nommés par la Commission européenne devant se prononcer sur la dangerosité présumée du bisphénol A pour élaborer une stratégie afin de réglementer les perturbateurs endocriniens, étaient en rapport avec l’industrie chimique.

    ***

    La bataille se joue également auprès de l’opinion publique. PlasticsEurope, qui représente les producteurs européens de matières plastiques, avait ainsi utilisé la perspective d’une éventuelle réduction de l’emploi à la suite de l’interdiction du bisphénol A pour encourager les citoyens intéressés par la préservation de leur travail à soutenir son maintien. Cet argument, impliquant une perte de bien-être de la société, a ralenti les décisions à l’encontre du bisphénol A.

    ***

    Une réflexion sur la régulation des risques, notamment chimiques, devient donc urgente. En effet, à la suite de l’interdiction du bisphénol A, de nouveaux composés de la famille des bisphénols ont émergé : les bisphénols B, F et S. Les premières études toxicologiques sur ces substituts ne sont guère rassurantes ni pour la santé, ni pour l’environnement.
    https://theconversation.com/bisphenol...s-ont-ralenti-son-interdiction-156990
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  8. La biologiste Barbara Demeneix (du CNRS) ne partage pas cette minoration du risque toxique : « Pour les perturbateurs endocriniens, ce n’est pas la dose qui compte. Ce sont les mélanges, les effets cocktails, même de substances mesurées en dessous des seuils, qui sont dangereux » confiait-elle avant l’audience
    https://www.bastamag.net/La-lanceuse-...e-pesticides-toxiques-dans-du-vin-HVE
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